/HRP: texte de Spaike le Rige ^^
"Je suis Spaike et je vis dans une contré non lointaine.
Nous étions rassemblé dans une auberge non loin des troubles à venir avec mes trois compagnons : Choukie fille pleine de bravoure pour ses seize ans. Pirofeu, ami d'enfance de mon défunt frère, est âgé lui de vingt-deux ans et qui aime jouer avec le feu. Touret lui au contraire peureux mais élégant et de mon âge.
Nous étions donc à fêter mon nouvelle âge lorsqu'un homme bourru et pour le peu pressé entra dans l'auberge et s'écria :
- Que tout les hommes, femmes, guerriers et même fainéants se rassemble et prennent les armes nous somme attaqué par une bande d'homme armé que personne n'arrive à défaire !
Alors que le trouble s'installait dans l'auberge, Pirofeu se leva et marche serin vers l'annonceur.
- Où sont c'est homme ?
- Ils se dirigent vers le donjon
- Merci.
- Et que compte tu faire Pirofeu ? demanda Touret simplement.
- On demande toutes les personnes même les peureux il va falloir que tu vienne aussi.
Une femme, qui sentait l'expérience de la vie intervint :
- Ce jeune homme à bien raison il faut se battre.
Choukie, comme beaucoup d'autre, se leva et se dirigea vers le sortie.
- Choukie ne le suit pas dans son délire ! Que croit tu faire ? Nous ne savons pas nous battre ! dit Touret.
- Je le sait bien mais nous ne somme pas tous comme toi ! Tu viens Spaike ?
Amoureux, j'ai pris le bras de Touret et l'emmena vers la sortie.
Une fois dehors les hommes d'armes approchait à dos de chevaux diabolique laissant derrière eux les cadavres d'homme et de femmes.
Une troupe d'homme les chargeas, mais avant même de frappé l'ennemi il touchait le sol.
Une peur parcourait déjà le corps, et je me retournait pour trouver mes compagnons, Touret n'avait pas avance depuis que je l'avais lâché à l'entrée de l'auberge. Pirofeu comme d'autre était prépares au combat ils n'avaient donc peur de rien ? Où pouvait bien être Choukie ? Qu'es-que ? on me met quelque chose dans la mains, derrière Choukie me donnais une hache. Elle portait une dague.
- Tu ne veux quand même pas que ?
- Si, bien sur que si.
- Choukie je veux te dire que je ... je ...
- Moi aussi. Ces lèvres vinrent prendre possession des miennes, la peur disparue. Elle me donna un peu de sa bravoure, mes lèvre me brûlaient. Une question me vint à l'esprit : Pourquoi faire es-que ce moment doit arrivé alors que nous allons mourir ?
Les cavalier se rapprochait et déjà le groupe d'homme succombaient à leur attaque. Pirofeu et l'autre femme se battaient ensemble à l'aide d'épées, ils arrivèrent à tué un des six cavalier. Mais ils étaient les seuls à savoir se battre.
La bataille faisait rage on ne faisait que sauver nos vie après tout, qui avait parlé de combattre on esquivait les coups seulement rien de plus.
Au loin on pouvait voir des dragons volant, signe de mauvais présage, nous n'avions pas besoin de ça.
- Noooooon.
Un crie d'une voie que je connaissait retenti. C'était Touret il faisait seul fasse à un cavalier. Sans réfléchirent Choukie et moi partons à son secours, Après quelque effort le cavalier était maintenant sur c'est pied et non sur ça monture. Choukie parti vers lui avec sa dague je la suivit, en un coups de poing il l'a mis à terre et moi de même. Il se dirigeait vers Touret qui était pétrifier par la peur. L'épée meurtrière s'abattit de plein fout sur notre ami, il tombât a genou puis son visage vînt se couvrir et poussière.
Le temps de se combat les dragons était arrivé sur nous, le célèbre guerrier nommé Le Rige en descendait ainsi que ces disciples. Ils engagèrent le combat dès qu'ils avaient mis pied à terre.
Je me relevait et courut vers Choukie, elle était dévisagée, le coups de poing lui était arrivé en pleine face, elle respirait encore mais était inconsciente. La rage s'empara de moi et prenant la hache à 2 mains je fondis sur le meurtrier de mon ami, ma hache s'enfonça dans son armure alors qu'il me tournait le dos. Mon arme bloqué, je prix une épée qui trainais par terre, mon ennemis me fit face et il me regardait droit dans les yeux lorsque ma nouvelle arme lui pénétra le cœur.
Le Rige se battait seul contre les deux dernier ennemis. Il en défit un de sa hache, un coup d'une puissance phénoménal. Le corps allait tomber, mais
- Nonnn, Choukie était toujours par terre et bientôt sous le ce corps d'acier.
Courant j'arrivais trop tard, elle ne respirait plus écrasé par un corps sans vie. Les coups filaient au dessus de moi. Une 2eme poussée de rage monta en moi alors que Le Rige voulant me protéger se retrouva couché sur le sol, sa tête quelque mètre plus loin.
Une 2eme fois armé d'une hache j'attaquais l'ennemi, mais celui la me faisais face, un long combat était en cours. assénant un coup puissant l'ennemi recula et son pied vînt trébucher sur un corps, celui de Pirofeu. L'ennemi a terre je plantait ma hache en son ventre, il rendit son dernier souffle.
Déjà des gens se relevait et m'acclamait, je n'entendais pourtant pas se qu'il ce disait. Mes pensées allaient à mes trois amis mort, Touret c'est moi qui lavait emmené dehors, et pourquoi étais-je toujours en vie, pourquoi moi eu pas eux.
Des mains me soulevèrent, je reprenais mes esprits. On acclamait quelqu'un.
- C'est Spaike il se nomme Spaike il a battu les ennemis envoyé par la sorcière c'est un héros !
Le seul héros qui était là était mort et en deux parti il s'appelait Le Rige.
- Il est en vit grâce au Rige, il à donné sa vie pour lui ! il devait connaitre son courage et se force et savait qu'il gagnerait.
Les gens délirait maintenant sur mon soi disant exploit et bientôt on entendait plus que 3 mots : Spaike le Rige. ce sont les 3 dernier que que j'entendis moi même.
Mon réveille fut brutal, ou était-je ? pourquoi ? Un flot de souvenir arriva comme une enclume. Ils étaient tous mort. Une infirmière arriva.
- Monsieur vous venez de vous réveillez ?
- Oui
- Vos blessures sont guéris à par la marque de poing sur votre ventre mais elle ne disparaitra jamais.
- Je vais cherche le roi il veut vous voir.
L'infirmière partait. Le roi mais pourquoi, non il veut me remercier mais je ne veut rien savoir. Je pris mes habits en lambeaux et sorti de la maison par le fenêtre, personne au alentours.
Après une bonne semaine de marche j'arrivais à Tarabat."
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Sujet: Spaike le Rige 
Mer 18 Juin - 14:46