Orlanea
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Discutions, conseil de guerre, alliances. Voilà le forum de la guilde de la nuit: Orlanea.
 
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 L'ultime vengeance!

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Fadile
Membre de la guilde



Messages : 248
Date d'inscription : 27/06/2008
Age : 31

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MessageSujet: L'ultime vengeance!   L'ultime vengeance! Icon_minitimeDim 29 Juin - 22:35

Première publication faite ches les SoH (Version tout à fait originale!):


L’ultime vengeance

Le ciel s’assombrissait, et l’atmosphère, pesante. C’était le présage d’une éruption… Les villageois s’enfermaient dans leurs modestes maisons, en sortir était pur folie.

En ces temps obscurs, un chevalier sanguinaire, nommé Dracus, et son alchimiste diabolique, Dyas, menaient le Royaume Interdit d’une main de fer ! Les soldats de ce chevalier, devenu roi n’offraient aucun répits aux paysans du royaume, les pillant, les surchargeant de taxes injustifiés qui s’appliquaient aussi aux commerçants, qui s’essoufflaient, s’écroulaient sous les dettes, comme tout le peuple. Les chevaliers, eux, n’étaient pas mieux lotis : à la fin de leur formation, seul deux choix s’offraient à eux, le camp de Dracus, ou la mort, une mort cruel et sans gloire, jetés dans la Dent du Dragon, le volcan dans traites, dont Dyas avait fait son repère. Peut-être était-ce les esprits de ces chevaliers qui recouvraient de cendre, ciel, terres et eaux, empoisonnant ainsi les seules ressources du peuple ? Ou peut-être était-ce ce diabolique alchimiste qui jouait avec le feu, sans crainte d’apocalypse ? Voila sans doute les raison qui privaient aujourd’hui les terres et les hommes du soleil, porteur de vie…

Néanmoins, un groupe de noble chevalier, alliés à de sages magiciens, qui s’étaient tous extradés, résistaient dans une lutte acharnée. Ils étaient une vingtaine, talentueux, qui à eux seul empêchaient l’agrandissement du royaume de la mort, de Dracus, une vingtaine, formés par de hauts magicien, et qui devaient atteindre un très très haut niveau de compétence, s’il voulait un jour rétablir le règne de la paix. Formés au combat rapprocher, à la manipulation d’armes, on leur exigeait aussi des talents de magicien, qui leur servait à changer leur traits, à se vieillir ou rajeunir, mais aussi, bien d’autre tour qui leur seraient fort utile lors d’une batailles. Car la paix et le prix de la guerre, l’un ne peut exister sans l’autre.

Parmi ces chevaliers, on en distinguait un de particulier, de loin le plus talentueux de tous : c’était un jeune homme solitaire, qui en opposition à son âge, apparaissait toujours comme un simple vieillard. Un vrai potentiel, déjà bien développé, mais marqué par la douleur… Ce chevalier, nommé Fadile était très solitaire, depuis ses mésaventures, lors de la prise de pouvoir de Dracus : Originaire de la capitale du Royaume Interdit, qui s’appelait à l’époque Kalyss, il avait grandi heureux, auprès de les parents, frères et sœurs : serviable, et talentueux, il était en formation au près de grand guerrier au service de l’ancien roi. Malheureusement, tout bascula le jour de ses seize ans, le jours ou Dracus vint mettre à sac la capitale : les hommes de Dracus avait fait assassiné la capitale entière, et incendié un grand nombre de bâtiment. Le roi n’était plus, et ses hommes non plus. Chacun avait péris, avec leur famille, ou en défendant le roi, tous était mort.

Mais ce jour là, Fadile avait eu la chance de se trouver en campagne, bien que non loin de la capitale. Après avoirs aidé quelques paysans à labourer leurs champs, car après tout, les chevaliers devaient bien rendre service, il était partit s’entrainer avec sa nouvelle épée. Il lui avait été offert par son père, car il venait de se faire sacrer chevalier, il avait donc droit à l’épée de l’apprenti, et non plus celui de l’élève. Il s’entrainait alors seul, lorsqu’il perçu, par delà les collines, les rumeurs d’une grande armée. Embusqué, il avait alors perçu Dracus, au milieu de cette armée qui semblait se diriger vers la ville. Il resta paralysé, sans pouvoir se contrôlé, faiblesse qui regrette en permanence. Dracus était à porté de tire, et il avait avec lui une lance, en plus de son épée, et aussi un bouclier… Ce fut la seule fois ou il pouvait agir, et il n’avait rien fait.

Pendant le massacre, il resta hors de la ville, sans savoir pourquoi, peut-être tenait-il à la vie ? Alors, il n’était pas chevalier, il n’était qu’un incapable. Ne valait-il mieux pas mourir en héro ? Il revoyait encore la ville, détruite, lorsqu’il y pénétra : il entendait encore ces rares cri de douleurs, qui déchirais de temps à autre ses tympans, ces cadavres jetés au sol, sans sépulture, ces maisons défoncés, ou incendiés… Il ne pensa à rien d’autre qu’à sa famille, et accéléra le pas, pour découvrir le cadavre de ses parents, de ses sœurs, et ses frères, qui gisaient entassés sur le seuil de leur maison en feu. Il s’étaient tous battus, tous avaient pris les armes, et sont mort noblement. Plus loin, habitait une fille, Eléanor, dont il était entièrement dévoué… Il voulait la rejoindre, et entra dans sa maison, qui menaçait de s’écrouler, et la découvrit à terre, habits déchirés et imbibés de sang. Il la prit dans ses bras : elle était encore chaude, peut-être vivante ? Il approcha son oreille au cœur de sa bien aimée, il battait encore, mais pas pour longtemps… C’était probablement sa dernière chance pour lui avouer son amour : il s’abaissa doucement, et apposa un tendre baisé sur les lèvres d’Eleanor, comme-ci cet ultime acte, pouvait lui sauver la vie… Eleanor ouvrit alors ses yeux noisette, le scruta longuement, et fini par lui caresser la joue. Dans un dernier sourire, elle lâcha son dernier souffle, laissant ainsi seul le jeune Fadile, dans son chagrin. Il tourna alors le dos à son passé, et grâce à l’aide d’un de ses oncles, qui vivait en Hermite dans les Montagnes de l’Ombre, il passa la frontière, et continua seul on périple vers Tarabat, non loin du repère de Dyas. De là, il fut rejoint par une poignée d’autre chevaliers, qui se formèrent aussi auprès du grand nombre de grand magicien vivant dans ce village.

Fadile le savait. Sa formation touchait à sa fin, il devrait bientôt accomplir le destin qui lui était destiné, ce destin, l’a-t-il choisit ? Ou peut-être, s’est-il présenté à lui, sans qu’il puisse le refuser ? Fadile ne le savait pas, comme tant de chose… Il chassa ses doutes, il devait le faire, venger sa famille, et Eleanor… Avec les autres, il devait désormais rejoindre le Royaume Interdit, peut-être serait-ce sa première et dernière quête ? Mais d’abord, il devait éliminer Dyas, une fois l’alchimiste éliminé, les frontières serait plus accessible, et l’influence de Dracus, bien moindre… Il est temps…
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Fadile
Membre de la guilde



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Date d'inscription : 27/06/2008
Age : 31

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MessageSujet: Re: L'ultime vengeance!   L'ultime vengeance! Icon_minitimeDim 29 Juin - 22:37

deuxième parti, toujours originale!

Les premières lueurs de l’aube jaillissaient du ciel pour venir réchauffer le sol encore givré, après une nuit froide, froide, courante à Tarabat. Fadile préparait son armure, il devait partir dès maintenant, s’il voulait atteindre le repère de Dyas avant la nuit. Il n’avait pas encore de monture, il la gagnerait après sa mission. Il avait une longue route à faire et ne devait pas gaspiller de force inutilement. Sans un bruit, il quitta le village, sans même dire au revoir à qui que se soit. Si, au lendemain, au zénith, il n’était pas revenu, ses compagnons chevaliers sauraient quoi faire, sauraient qu’il leur faudrait une fois de plus patienter, pour élever une grande armée, réunissant un grand nombre d’autre royaume, une alliance peut-être impossible ! Fadile partait donc avec un objectif très précis en tête, réussir sa mission, éliminer Dyas, et ainsi, annuler la protection des frontières.

Un peu après le village, il bifurqua dans un étroit sentier, qui menait à une maisonnée, ou une alchimiste habitait Cette femme lui fournissait comme à son habitude des capsule de poison, et lui empoisonna la lame de son épée. Il revenait alors sur le chemin principal. Il accéléra le pas, il ne pouvait contenir son impatience…

Le soleil commençait à décliner. Le cœur, d’un rouge intense, de la Dent du Dragon s’illuminait, par delà sa cheminé, éclairant ainsi la tour, repère de Dyas, accroché à son flan. Fadile avait un plan, très simple, se présenter sous la forme d’un vieillard, afin de ne pas éveiller les soupçons trop vite et planter sa chère épée dans le cœur de ce diable d’alchimiste. Pas besoin d’en faire trop, de risquer sa vie, sans raison : son ennemie était beaucoup plus loin d’ici, beaucoup plus inaccessible.

Il se concentra, son armure disparu, laissant place à des loques, des rides se creusèrent dans sa peau, et ses cheveux, si brun, disparurent dans une touffe argenté, et sale. Il était prêt. Sans hésitation, il entreprit l’ascension du volcan, une ascension difficile. De plus, le volcan semblait sentir sa présence : après plusieurs éboulement, dont il avait échappé de justesse, il eu droit à des jets de cendre… Par chance, il pouvait retenir sa respiration assez longtemps pour échapper à ces jets toxique, prêt à lui ravager les poumons… Il avait maintenant atteint la tour : tout semblait si calme, on croyait presque que la tour dormait… Celle-ci, pas très haute, était éclairée de l’intérieur, par une faible lueur bleue. Fadile fit alors apparaître un arc, et décocha une flèche à laquelle était accrochée une corde, qui alla se ficher dans le toit. C’était solide : il escalada la corde, pour atteindre, un peu avant le toit de chaume, la seul ouverture suffisamment spacieuse, pour lui permettre de pénétrer les lieux.

L’intérieur était en tout point semblable à un laboratoire d’alchimiste, bien rangé, hormis la source de la mystérieuse lueur bleue. Fadile fut attirer par celle-ci, c’était une pierre, parfaitement polie, qui flottait au centre de la pièce. Il voulait la toucher, la saisir, comme-ci que cette pierre l’hypnotisait… Fasciné, il avait à tord, relâcher l’attention, et prenait tout à coup conscience du danger, mais trop tard : subitement, une corde vint mordre son cou, sans qu’il puisse s’échapper. Fadile se contorsionnait, comme il le pouvait, mais rien n’y faisait : il avait beau pouvoir retenir sa respiration, si son cerveau n’était plus irrigué en sang, il ne tiendrait plus longtemps. Sa vue se brouillait, son énergie diminuait. Dans un ultime effort, il fit apparaître son épée, et l’enfonça au hasard, vers son adversaire, qu’il ne distinguait même pas. Il espérait ainsi avoir un peu de répit, et par chance, il atteignit une jambe de son ennemie, qui le lâcha un court instant. C’était suffisant pour Fadile, il se dégageât, et relâcha sa magie, reprenant ainsi son apparence, laissant son armure revenir à lui. Il retrouva la vu, et dès qu’il l’aperçut, il le reconnu, c’était bien Dyas qui l’attaquait, le diable en personne. Il fonça sur lui, et celui-ci ne réagissait pas, comme si il était hors du temps : il psalmodiait de manière inaudible… Alors, l’épée de Fadile transperça le dos de Dyas, et empoisonna son cœur, mais avant de mourir, il prononça comme dernière parole Orageus ! C’est alors que la pierre bleutée se précipita à une vitesse fulgurante vers Fadile : elle vint se planté dans la paume de la main droite du jeune chevalier, le faisant gémir d’une douleur atroce. Reprenant ses esprits, il regarda sa paume, et y découvrit avec étonnement un Crystal des cinq éléments : un Crystal ou était gravé un éclair et s’il en croyait le dernier mot de Dyas, c’était le Crystal d’eau. Cette pierre incruster dans sa paume lui faisait peur : c’était une pierre maléfique, une de ces pierres qui permettaient de contrôler un de ces diaboliques dieux des éléments. Cette pierre allait le ronger, le corrompre jusqu’aux os, le transformer en démon. Non ! Il devait résister ! Il devait mener à bien sa mission, l’achever quoi qu’il en coûte. Ce n’était pas une vulgaire pierre qui allait le détourner de sa mission, qu’il s’était fixé il y a si longtemps déjà ! Il sentait déjà le poison démoniaque de la pierre qui tentait de s’emparer de son esprit… Il résistait, mais il le savait le seul remède à ces reliques était la mort…

Comme chaque nuit, dehors, le sol givrait, endormant ainsi la nature et les hommes. Désormais, les frontière était ouvertes, Dyas n’étant plus de ce monde, les barrières protectrice qui isolaient le Royaume Interdit étaient inefficaces. Des changements allaient opérer, peut-être était-ce l’aube d’une révolution ?
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