HRP: Merci ^^, voilà la suite, bon, c'est pas génial, mais bon, c'est déjà ça =p lolJe ne me réveillais que quelques jours plus tard. Au début, rien ne me revenait vraiment, mais au fils des minutes qui passaient, les sons des évènements passés resurgissaient peux à peux dans mon esprit, et je m'empressai de m’enfouir sous les couettes des mon lit.
C’est alors que je me rendais compte de l’endroit où j’étais. C’était une luxueuse chambre, très bien meublée. Un lit aux draps soyeux, un grande commode, pouvant contenir bien plus de vêtement que ce que j'avais, une belle coiffeuse, une cheminée où brûlait un chaleureux feu, et surtout, deux grande fenêtres s’ouvrant sur la mer. Ne pensant plus à rien, et oubliant de me questionner sur l’endroit où j’étais, je me précipitais vers elles. Je n’avais jamais vu la mer, mais souvent, dans les histoires que nous racontaient les anciens, on faisait référence à ces magnifiques étendues d’eau, pouvant être d’un calme serin puis devenir dangereusement mortelle quelques minute plus tard. Tout cela avait bercé mon enfance, et je m’émerveillais d’enfin la voir en vrais.
Quelqu’un entra dans la chambre, me détournant de mon admiration du paysage, et faisant revenir, pas la même, les dizaines de questions que je me posait.
- Tu es enfin réveillé ?C’était une jeune fille à la peau caramel. Elle semblait très gentille et me souriait gentiment.
- Qui êtes-vous ?
- Je me nome Samara. Et toi ?Tout en se présentant, elle me fit signe de venir m’assoire à ses côtés.
- Joris… Dites, où est-ce que je suis ?
- Tu te trouves au château du Seigneur Ulrich d’Aléria, mon père. Je restais silencieuse quelques secondes, ce nom me disait quelque chose, mais rien de bien précis.
- Pourquoi je… Pourquoi je suis ici ?Samara m’adressa un fin sourire triste. Ne disant rien, elle se déplaça jusqu’à la coiffeuse, pris une brosse, revint, et entrepris de dompter mes cheveux plus qu'emmêler.
- Est-ce que tu te souviens de ce qui c’est passé ?Je ne pouvais pas répondre, les larmes venaient toutes seule, je ne fit qu’acquiescer.
- Mon père et ces troupes revenaient de guerre, lorsqu’ils passèrent près de ton village… Ils fouillèrent partout à la recherche de survivants. C’est alors qu’ils désespéraient de ne trouver personne qu’ils entendirent ton cri. Apparemment tu faisais un terrible cauchemar. Père décidât de t’emmener avec lui.
- Ton père ma sauvé alors…
- Oui, on peut dire cela ainsi. Il voudrait te voir d’ailleurs, dés que tu pourras…-oOo-
Voila deux jours que je me trouvais au château, et je me sentais enfin la force de sortir de ma chambre.
Samara avait passé beaucoup de temps à mes côtés. Elle m’avait parlé d’elle, de sa vie au château. Elle me racontait également la vie des chevaliers qui vivaient avec eux. Ces grands guerriers, et, c’est à cette période là que je décidais de devenir aussi forte qu’eux, pour un jour me venger de ceux qui avaient ruinés ma vie.
En même temps, j’étais très reconnaissante envers Samara et son père. Pour m’avoir recueillit et s'être occupés de moi ainsi.
On m’amena devant le seigneur Ulrich. C’était un grand homme, un des plus grand que j’ai jamais vu. Un de ceux près a se sacrifier pour sauver les gens qu’il aime. Il était très sage et d’une infini gentillesse. Il me demanda de lui raconter se qu’il c’était passé. J'eus dû mal à lui en parler, j’avais tout fait pour ne pas y penser, mais je me forçais à tout lui dire. Les brigands, le massacre, ce que j’avais entendu, tout.
Il se fit preuve d’une grande compréhension et me proposa de rester vivre ici. J’acceptais avec empressement. Mais je lui demandait quand même une faveur, une faveur qui le laissa sans voix.
- Mon seigneur… Faites de moi un chevalier, je vous en pris ! Il y réfléchit une longue semaine, qui parurent des années à mes yeux, mais finalement, il accepta, provoquant une grande joie chez moi. C’est alors que mon entraînement commença.